Rapport
Floating Through The Wonderwave
Toronto-born Maddy Wilde (Moon King, Born Ruffians) formed Rapport after a decade of playing in various local bands and performing with other artists; Wilde’s imposter syndrome finally gave way to a desire to create music that she felt was under explored in her city. With band members Kurt Marble and Mike Pereira, (Twist, Ducks ltd, Most People) both experiencing the same urge to face the challenges of creating earnest pop despite their musical backgrounds in garage, punk and glam rock; Rapport embarked on a journey into the depths of classic pop.
Wilde’s arrangements combine her intuitive sense of harmony with a desire to sincerely capture the essence of sentimentality. Warm synth pads soften the space between Pereira’s punchy percussive bass style, referred to by the band as the “chug,” which steadily drives the songs forward, while Marble’s Knopfler-esque guitar lines play off of Maddy’s rich vocal melodies. The result is a constant braiding of memorable hooks, reminiscent of ABBA or Jeff Lynne’s ELO.
Floating Through The Wonderwave is Rapport taking a darker, more melancholic turn. Themes of jealousy, neuroses and self-doubt arise as Wilde explores the balance between artistic creation and self-promotion.
“I had to uninstall social media apps on my phone when I realized they were a major source of anxiety and a hugely addictive waste of time which I could have spent making music. My creative practice was suffering as a result. But without these tools, how are artists meant to share their work?”
The concept of “turning off” – the target of Wilde’s musings on lead single 'Video Star’ – is a presumptuous fantasy that she knows won’t last. Inevitably she will return to her old habits, mindlessly scrolling, endlessly roaming.. Floating Through the Wonderwave.
Née à Toronto, Maddy Wilde (Moon King, Born Ruffians) a formé Rapport après une décennie à jouer dans divers groupes locaux et à se produire avec d'autres artistes. Le syndrome de l'imposteur de Wilde a finalement cédé la place à un désir de créer une musique qui, selon elle, était sous-explorée dans sa ville. Avec les membres du groupe Kurt Marble et Mike Pereira (Twist, Ducks ltd, Most People) éprouvant tous deux le même besoin de relever les défis de la création de pop sincère malgré leurs antécédents musicaux dans le garage, le punk et le glam rock ; Rapport s'est lancé dans un voyage dans les profondeurs de la pop classique.
Les arrangements de Wilde combinent son sens intuitif de l'harmonie avec un désir sincère de capturer l'essence de la sentimentalité. Des pads de synthé chaleureux adoucissent l'espace entre le style de basse percutant de Pereira, que le groupe appelle le "chug", qui fait avancer les chansons de manière constante, tandis que les lignes de guitare Knopfler-esque de Marble jouent sur les riches mélodies vocales de Maddy. Le résultat est un tressage constant de crochets mémorables, rappelant ABBA ou ELO de Jeff Lynne.
Floating Through The Wonderwave, c'est Rapport qui prend une tournure plus sombre et plus mélancolique. Les thèmes de la jalousie, des névroses et du doute de soi surgissent alors que Wilde explore l'équilibre entre la création artistique et sa propre promotion.
"J'ai dû désinstaller les applications de médias sociaux sur mon téléphone quand j'ai réalisé qu'elles étaient une source majeure d'anxiété et une perte de temps extrêmement addictive que j'aurais pu passer à faire de la musique. Ma pratique créative en souffrait. Mais sans ces outils, comment les artistes sont-ils censés partager leur travail ?"
Le concept de "se débrancher" - la cible des réflexions de Wilde sur le premier single "Video Star" - est un fantasme présomptueux dont elle sait qu'il ne durera pas. Inévitablement, elle reviendra à ses anciennes habitudes, défilant sans réfléchir, errant sans fin.. Flottant à travers la Wonderwave.
1. | Video Star | 3:56 |
2. | Can't Get It To Last | 3:21 |
3. | Going Nowhere | 4:13 |
4. | Eggshells | 4:10 |
5. | Trial Run | 3:16 |
6. | My Bed | 4:31 |